Thimoty Jude [ Validé ]

Nom : Jude

Prénom : Thimoty alais Thim

Age : 25 ans

Poste souhaité : Professeur de sciences

Psychologie :

Qualités :

Curieux. Pour lui c’est une qualité, il est curieux de la vie. Il est toujours prêt à chercher à comprendre chaque chose qui le questionne. Il n’ira pas jusqu’à espionner, mais en tous cas observer c’est un fait indéniable.
Joviale. Je n’irai pas jusqu’à dire joyeux car, depuis quelques années, il a perdu se joie de vivre. Mais il est souriant et prêt à plaisanter à la moindre occasion.
Amical. Il parle facilement. Pas forcément de sa vie, mais il parle facilement. Par contre il s’attache très difficilement. Il a peur de perdre à nouveau.
Généreux. Aussi bien financièrement parlant que psychologiquement et physiquement parlant. Il est toujours prêt à aider n’importe qui. Mais si vous abusez de lui, de sa gentillesse, les représailles seront terrible, autant ne pas vous le mettre à dos.
Gentil. Ca va de paire avec généreux. Il est sympathique, rarement de mauvaise humeur. Il est là pour vous, pour vous aider. Mais si vous pensez être devenu un de ses bons amis, sans doute vous trompez-vous. Il n’a aucun bon ami et même plus aucun amis. Il a de simples connaissances

Défauts :

Triste. Parfois triste, voir même morbide, lorsqu’il ne sourit pas il faudrait éviter de lui parler, surtout si vous êtes déjà un peu démoralisé. Il a ses piques de tristesses mais en de pareils cas, soit il se fait violence pour redevenir, normal, soit il s’éloigne.
Solitaire. Il ne veut plus s’attacher à personne. A l’exception d’une seule personne qui le reconnaîtra sûrement. Mais les autres, c’est non. Il a peur de perdre les gens qu’il pourrait aimer de n’importe quel amour.
Colérique. Il ne change pas facilement d’humeur mais si vous l’énervez, mieux vaut se mettre à l’abris. Il ne vous frappera pas, sans doute, mais les mots peuvent être plus violent que les coups. Mais une nouvelle fois il essaiera de s’éloigner avant d’exploser.

Ce qu’il aime :

Il aime le sport. Avec une petite préférence pour la boxe. Il est d’ailleurs sortit champion de quelques concours en Angleterre. Il aime poser pour des photos. Si vous avez fait des vacances en Angleterre récemment vous l’aurez sûrement vu, soit sur une affiche soit dans un magazine. Il aime aider les autres et les soigner, d’où son métiers premier. Il aime bien prendre des photos aussi, pas toujours poser devant l’objectif. Il aime chanter et jouer du piano. Un petit virtuose de ses mains et de son esprit puisque la plupart des chansons qu’il chante et la plupart des musiques qu’il joue ont été écrites par lui. Il aime bien s’asseoir et juste observer un paysage, qu’il prendra sûrement en photo, ou juste observer une scène qui serra, sans doute, elle aussi photographiée. Il aime aussi bien s’entendre avec ces élèves, c’est pourquoi, en dehors des cours il leur permettra de le tutoyer mais pendant les cours, le vousoiement sera de mise. Il observera les mêmes règles envers eux.

Ce qu’il déteste :

Son père géniteur, mais c’est une autre histoire. Il déteste faire le ménage. Il se résigne à le faire une fois par semaine mais pour lui c’est vraiment un véritable enfer. Un de ses hommes machos? Non puisqu’il aime faire les courses, la cuisine et, plus étonnant, le repassage. Mais il déteste dépoussiérer, passer l’aspirateur, laver, etc. Sa femme se moquait souvent de lui en disant qu’il aimait repasser mais pas le reste. Il déteste les gens arrogants et trop sur d’eux. Pour lui nul n’est parfait et ceux qui le prétendent pourront s’attendre à l’avoir sur le dos pour qu’il leur montre tous leurs défauts.

Physique :

Cheveux :

Lui, il est blond. Pas un de ses blonds peroxydés, non un vrai blond. Seulement physiquement cela dit. Ses cheveux lui arrivent, derrière le crane, jusqu’à la nuque. Il ne les coiffe jamais ou les coiffe décoiffé. Une envie de faire jeune? Loin de lui cette idée là, c’est son style, voilà tout. Ses cheveux sonr fin et pas d’un blond très claire.

Yeux :

Ses yeux en amandes sont souvent charmeur. Il aime charmer les gens qui l’entourent. Non pas dans le but d’aller plus loin avec eux, mais son métier de mannequin lui a appris à être charmeur en tous temps. Bruns-verts, telle est la couleur de ses deux charmant petit rubis.

Visage :

Il est blanc. Sa couleur de peau est vraiment blanche et ses lèvres, plutôt claires elles aussi ne ressortent pas toujours. Mais ses deux, d’une blancheur éclatante ne se confondent, tout de même, pas avec sa peau un peu plus foncée. Ses traits son fins et harmonisés. Une petite cicatrice sur la joue gauche, montre que, parfois, il ne plaisante pas.

Taille :

Il est grand. Près de deux mètres il mesure un mètre huitante-neuf.

Corpulence :

Fin mais musclé. Pas trop musclé il a, simplement, un corps de mannequin, voilà tout.

Style vestimentaire

Il est plutôt joli et il le sait. Son style vestimentaire est choisis pour se mettre encore plus en valeur. Mais ne vous trompez pas, il n’est pas narcissique. Il aime juste plaire c’est tout. Classe, provoquant, sérieux et décontracté à la fois, il s’habille d’un pantalon en jeans, plus ou moins moulant, et d’une chemise blanche, dont les trois premiers boutons sont souvent ouverts, glissée à l’intérieur de son jeans.


Signe particulier :

Une gourmette en pendentif autour du coup. Trois photos à l’intérieur. Une jeune fille d’environ 8 ans, une belle et jeune femme d’environ 20 ans et un petit et joli jeune homme d’environ 4 ans.


Histoire : Il est né d’un erreur. D’une erreur colossales. Leur mariage était à peine annoncé qu’elle apprit qu’elle était enceinte. Ils étaient jeune, et beaux. Lui était riche et elle en passe de le devenir. Mais ils n’auraient jamais pensé qu’un enfant viendrait rompre cette perfection. Oui ils en avaient parlé et en prévoyaient un. Mais pas aujourd’hui, dans une petite dizaine d’années. Mais pas aujourd’hui.

La naissance avait été mise à terme dans ce manoir. Le père n’était pas là et la mère, à peine l’enfant mis à jour, n’avait même daigné lui accorder un regard. Il grandit dans un luxe apparent, avec nourrice qui se succédaient à son chevet. Sa naissance même avait été tue et il avait fallut quelque millier au père pour inscrire l’enfant sans que ce soit ébruité. A l’âge de ses quatre ans, il reçut son premier coups portés par son père. Le jeune Thim était simplement placé au mauvais endroit au mauvais moment. Mais le coup avait été si violant qu’il perdit connaissance. Sa nourrice s’était alors précipitée pour le réanimer, lorsque son père ne fut plus en vue.

Il était un élève studieux et ses professeurs avisaient rapidement. Tant et si bien qu’il sautait souvent des classes. Nuit et jour il était enfermé dans le manoir. Et lorsque des invités venaient, il était enfermé dans sa grande chambre avec interdiction de faire du bruit.

Ses parents l’aimaient pas et il n’aimait pas ses parents. Ils devaient le cacher, car le déshonneur se serrait abattu sur eux si quiconque avait connu cette naissance prématurée.

Les jours se suivaient et se ressemblaient. Chaque jour était signe de douleur assénées pour son père. Il était devenu un punching-ball vivant. Ses parents ne fêtaient pas son anniversaire, oubliant carrément qu’il en avait un. Mais lui, il se promit de partir rapidement d’ici.

Alors qu’il n’avait que sept ans, il ouvrit la fenêtre de sa chambre et sauta sur l’arbre dont les branches étaient à bonne hauteur. Il le descendit sans un bruit et dans le froid de la neige il courut jusqu’au grand grillage qui fermait la propriété. Il l’escalada et se retrouva rapidement de l’autre coté. Le manoir était bien loin de la ville, mais il courut jusqu’à celle-ci. Il tomba de fatigue et de froid contre une fontaine.

Au petit matin il se réveilla dans un lit douillet. Une jeune femme, aux traits asiatique lui souriait. Elle lui demanda comment il s’appelait et il ne révéla que son prénom. Il inventa une histoire comme quoi il venait de loin et que ses parents avaient été tué il y a longtemps.

Elle l’adopta tout naturellement et lui offrit son nom de famille. Il était alors devenu un « Jude ». Elle l’inscrivit à l’école en l’année qui correspondait à son âge mais, naturellement, les professeurs le firent monter les années rapidement.

Il devint un charmant jeune homme faisant craquer plus d’une demoiselle. Il suivit ses études de médecine et à l’âge de 17 ans décrocha son doctorat. Sa mère adoptive était très fière de lui et pour le féliciter elle lui offrit des vacances dans son pays natal, le japon. Il tomba sous le charme du pays mais aussi d’une habitante. Après plusieurs tentatives il réussit par la convaincre de venir vivre en Angleterre avec lui.

Tous trois reprirent l’avion pour se retrouver en Angleterre. Le jeune Thimoty ne tarda pas à trouver un travail savamment payé dans une clinique privée et il ne tarda pas à épouser la jeune Xiaoline. Ils emménagèrent en retrait de la ville. C’était, en effet, calculé de la part de Thimoty. Il voulait observer ses vrais parents, savoir si ils le reconnaîtrait. Il organisa une grande fête pour son déménagement et y invita tout le monde. Par soucis de bien se faire voir, ses parents, qui n’avaient pas compris la moindre supercherie, envoyèrent leur fille.

Leur fille, il avait alors une petite sœur? Il ne lui révéla pas sa véritable histoire, il ne lui dit rien qu’elle pourrait soupçonner. Mais il lui dit qu’il serrait toujours là pour elle si besoin. Il prit des photos d’elle, dont une se trouve maintenant dans sa gourmette. Par chance, elle ne présentait aucun signe de coups, si ce n’est ce gant. Mais elle était encore jeune. Il passa la soirée avec cette jeune fille, en apprenant à la connaître. Elle n’avait alors que 10 ans.

Le lendemain sa femme lui annonça un heureux événement, elle était enceinte. Et de six mois déjà. Elle avait attendu tout ce temps craignant la réaction de son mari. Ils étaient encore jeunes, il n’avait que 18 ans, mais ce dernier fut fou de bonheur. Sa nouvelle famille se construisait petit à petit. Et son ancienne famille était juste à coté de chez lui.

Les trois mois suivants furent qu’attention apportées à sa femme. Cette dernière en avait même presque marre d’être autant choyée. Mais Thimoty ne se laissait pas faire et redoublait d’effort pour empêcher sa femme de faire quoique ce soit.

Il mit lui même au jour son petit bonhomme, son petit Yuki. Il avait les cheveux noir de sa mère et les yeux de son père. Il était très beau déjà. Les mois passèrent et Thimoty travaillait toujours à la clinique. Il était très bien payé et sa femme et son fils vivaient très bien.

Sa femme était partie au Japon pour présenter leur fils âgé de quelques mois. Il avait du rester ici car il était le seul médecin de la clinique. Il entendit, des cris dans le manoir de sa première famille. Reconnut des insultes proférées de la voix de ce tyran et entendit les pleurs de sa petite sœur. Il ne devait pas intervenir, pas maintenant, pas encore c’était trop tôt. Mais tellement tentant. Il prit sa voiture et partit faire un tour plus loin pour se changer les idées.

Voilà des années que les cris, les pleurs subsistaient. Qu’il n’intervenait pas. Il tentait de vivre avec sa femme, qui devenait plus belle jour après jour, et son fils, qui grandissait rapidement. Il aimait les prendre en photo capturer des moments de leur vie. Il les aimait tant. Mais lorsqu’il apprit que sa sœur partait, il se dit qu’il était temps d’aller dire deux mots à son géniteur.

Il embrassa sa femme, son fils, et partit chez ses très chers voisins. Ce fut un valet, qui ne le reconnut pas, qui vint lui ouvrire. Il s’annonça comme étant leur voisin Mister Jude et qu’il voulait une entrevue avec Sir. L’entrevue fut rapidement acceptée et le valet rapidement repartit à ses affaires.

« -Où elle va? Tu la laisses partir elle aussi?

-De quoi parlez-vous Sir? De ma fille? Non, elle part au Japon dans une école, c’est une tradition familiale.

-Cette famille ne se ventait pas de n’avoir que des anglais? Depuis quand doit-on envoyer des enfants au Japon pour avoir une bonne éducation Anglaise? A moins que tu n’ais les bras trop usé à force de lui frapper dessus?! »

Son interlocuteur se leva. Bon comédien, il feignit l’indignation.

« -De quel droit osez-vous? Vous entrez dans ma maison et vous m’accusez de pareilles inépties? N’avez-vous pas honte?

-Honte de quoi? De l’avoir laissée dans tes mains? Oh que oui j’ai honte crois moi. Père, je suis mort de honte.

-Co… comment? Père? Tu… tu est Thimoty?

-Je vois que ta mémoire ne te fait pas défaut. Tu te souviens aussi bien de comment battre tes enfants que leur prénoms, c’est un exploit. Non je ne suis pas mort, contrairement à ce que tu as fait croire en payant gracieusement des confrères qui t’ont fait un certificat de décès. »

Thimoty se retourna et le fixa dans les yeux.

« -Ca doit t’enrager hein. Ton fils a réussit sa vie, mais il ne porte plus ton nom. Quel crime. Quelle fierté aurais-je été pour la famille. T’as fait fuir un surdoué.

-Je ne savais pas ce que je faisais. Je suis désolée.

-TU TE MOQUES DE MOI? TU NE SAVAIS PAS? ET QUAND TU LA FRAPPAIS,ELLE, QUAND TU FRAPPAIS MA SŒUR, TU NE SAVAIS TOUJOURS PAS PEUT-ÊTRE. TU N’ES QU’UNE POURRITURE ET TE PLACE EST EN ENFER…. »

Il marcha en sa direction et toujours le fixant dans les yeux, il approcha sa bouche de son oreille.

« -Mais avant je veux que tu ressentes, juste une fois, la douleur des coups. La douleur des coups bien placés, au bon endroit. Je veux te voir te rouler au sol de douleur, comme je le faisais, comme elle le faisait sûrement. »

Et avant que l’autre n’ait pu bouger, Thimoty lui asséna un violent coup du poing gauche dans le ventre. Il s’affala sur le sol. Il s’était entraîné au sport et à la boxe surtout dans ce but, le voir lui, tomber devant ses propres pieds.

Il enjamba le corps de son père et partit. Juste avant de fermer la porte, il entendit.
« Tu me le paieras. Les coups que tu as reçu ne sont rien comparés à la douleur que je vais t’infliger. »

Thim n’y prêta aucune attention à ses menaces et retourna chez lui, heureux. Quelques minutes plus tard une ambulance se faisait entendre pour venir emmener l’homme à l’hôpital. Le jeune blondinet était encore plus heureux, d’autant plus lorsqu’on lui téléphona pour venir s’occuper de lui à l’hôpital. Son père ne porta pas plainte, mais à chaque fois qu’il le voyait, il lui disait qu’il allait bientôt être surpris. Son père avait subit une hémorragie interne suite à coup et Thimoty, juste professionnel, avait stopé l’hémorragie. Mais il avait interdit tout anti-douleur pour ce patient. La vengeance est un plat que se mange froid pensa-t-il content de lui.

A la fin de sa journée il rentra chez lui. Lorsque sa voiture fut engagée dans l’allée, il remarqua tout de suite comme une étrange atmosphère. D’habitude son fils riait et l’observait arriver avec sa mère derrière la fenêtre du salon. Mais là, rien. Il courut à l’intérieur inquiet. Et son inquiétude fut pas insoupçonnée. Ils étaient bien dans le salon, tout deux morts. La tristesse, la colère. Il était persuadé que c’était lui, que c’était l’homme qui l’avait mis au monde qui avait fait ça.

Il les enterra puis décida de partir loin, de enfin profiter de son brevet d’enseignant, acquis en même temps qu’il travaillait à l’hôpital. Il voulait partir dans le pays natale de sa femme et trouva cette école dans les montagnes. C’était exactement ce qu’il lui fallait.

Exemple de message : Le vent soufflait dans les arbres et quelques gouttes d’eaux tombaient du ciel. Malgré ce drôle de temps, un homme se tenait debout. Dans un cimetière, deux roses à la main. Une rouge et une blanche, sa tête était baisée et ses yeux clos. Malgré la pluie, et si on s’approchait un peu, on remarquait qu’il pleurait. Il tomba a genoux devant deux tombes, les larmes perlant plus rapidement sur ses joues et sa main serrant les fleurs dont les épines le firent saigner.

« Je suis désolé. Si seulement je n’avais pas voulu la défendre. Même si tu m’avais dit que tu serrais toujours derrière moi, même si tu m’avais dit que tu étais prête à te sacrifier pour elle, je n’aurai pas dut. Je n’aurai pas du vous laisser. Si tu savais combien je m’en veux ma belle. Je m’en veux tellement. Je t’aime toujours et notre petit Yuki aussi. Je porte le collier que tu m’as offert et je n’ai pas touché aux photos. Hier, quand je faisais ma valise, j’ai regardé l’album photo. Tu étais tellement belle, j’aimais tant te prendre en photo. Et notre petit Yuki qui voulait rarement se laisser prendre. Il m’amusait toujours avec ça. Il partait rapidement.

Tu sais je vais aller dans ton pays. Je vais aller enseigner les sciences à des enfants. J’aurai tant aimer le faire avec le notre, mais c’est impossible maintenant. Tu me croiras pas mais la hasard a fait que je sois tombé dans la même école que ma petite sœur. Ca n’était pas prémédité mais j’ai demandé les listes des élèves et je l’ai reconnue tout de suite. »

Une voiture klaxonna suivit d’une voix qui disait qu’il fallait partir sinon il louperait l’avion.

« Où que vous soyez, attendez moi, je vous rejoindrai un jour. Je vous aime. Et là-bas, je ferrai des stèles en votre honneur. Vous me manquez. »

Il déposa la rose rouge sur la tombe de sa femme et la rose blanche sur la tombe de son fils. Puis il embrassa les deux stèles et, alors que le klaxon retentissait encore une fois, il courut dans la voiture. Le voyage en avion fut douloureux psychologiquement, et il ne cessait d’observer les photos de sa femme et de son fils faites par lui.


Avez vous lu le règlement ? Bouya

[N.B. C'est le deuxième personnage de Berverly et son frère aussi.]

Bienvenue et Validé, re-bienvenue ^^

Enfin un prof aléluia ^^

J'ai pas encore tout lu mais je m'y met et je ne doute pas qu'il n'y a aucun problème